LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 01.03.11 |
Le nouveau premier ministre tunisien, Béji Caïd Essebsi, à Tunis, mardi 1er mars.AFP/FETHI BELAID Le nouveau premier ministre tunisien, Béji Caïd Essebsi, aurait accepté l'idée de mettre en place une Assemblée constituante, prônée par un collectif de partis et d'ONG. Cette décision n'a, pour l'heure, pas été confirmée, et le porte-parole du gouvernement,
Taïeb Baccouch, était injoignable dans l'après-midi. Cette Assemblée constituante est une idée phare du Conseil de la protection de la révolution, un collectif formé de quelque 14 partis politiques, de la puissante Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) et d'organisations de la société civile.
Ahmed
Néjib Chebbi, ministre démissionnaire du développement régional, a assuré que le président de la république par intérim,
Foued Mbazaa,
"ne prolongera pas son mandat", qui expire à la mi-mars selon la Constitution, mettant en garde contre le risque d'un
"vide constitutionnel" dans le pays.
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